La France Pedoland 2023 : les juges s’en foutent

Des enfants violé-e-s à Toulon, en série, les juges ne réagissent même plus : vidéo d’un avocat qui n’en peut plus



Le président de la république France Pédoland et son gouvernement ne protègent pas les enfants de notre pays depuis des décennies. Pourquoi le feraient-ils après tout puisque les enfants ne votent pas, n'ont pas de fortune personnelle ni de pouvoir, ils ne se rebellent pas, ne descendent pas dans la rue pour manifester, ne cassent rien, ne se révoltent pas, ne militent pas, donc les élus s'en foutent, comme les juges des tribunaux lesquels de toute façon n'ont pas les moyens humains et financiers pour traiter sérieusement les "affaires" de pédocriminalité...

Le prénom : un prétexte pour sadiser les survivants de pédocriminalité à l’âge adulte dans le monde professionnel par les gens de pouvoir d’entreprise

« Un pseudonyme est un nom d’emprunt adopté par une (ou plusieurs1) personne(s) pour exercer une activité sous un autre nom que celui de son identité officielle.

Il se distingue du surnom en ceci qu’il est choisi par la personne qui le porte au lieu de lui être attribué par un tiers2. Son usage est fréquent dans certains milieux, tels que le milieu artistique : auteurs, acteurs, etc., ou scientifique : groupe d’auteurs (Bourbaki), confidentialité (Student), etc.

L’usage du pseudonyme peut avoir plusieurs motivations : substitution à un nom jugé imprononçable, trop marqué ethniquement ou « peu glamour », protection de l’identité réelle, motivation artistique, etc.

Un mode assez courant de formation de pseudonymes est d’utiliser une anagramme de son nom réel (certaines œuvres de François Rabelais sont parues sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier). » Wikipedia

Mon prénom a été choisi le jour de ma naissance par ma mère. Au départ, je devais porter un autre prénom. Mes 2 parents m’ayant confié à des agresseurs (d’abord en maternelle une famille violente, puis en 6e au collège à mon bourreau), il m’est devenu difficile de supporter ce prénom qui était prononcé par mes parents et mes agresseurs. J’ai donc depuis l’âge de 17 ans utilisé un autre prénom, au départ sans avoir conscience de ce besoin vital de ne plus entendre ce prénom qui a été susurré à mon oreille par des agresseurs par violences physiques puis par violences sexuelles, y compris par mes propres parents puisqu’ils sont à l’origine du mal. Mon identité a été sali, souillée un bon nombre de fois dans l’enfance mais aussi par le président du tribunal de Nanterre lors du procès en appel : plusieurs fois ce sinistre personnage m’ayant appelée publiquement en cours de procès par mon prénom et le nom de mon agresseur ! Ce prénom je ne l’ai pas choisi et je n’ai pas choisi d’être souillée physiquement ni moralement.

J’ai choisi un autre prénom pour quelques raisons évidentes. Ce blog est anonyme et ce n’est pas pour rien ! Le risque existe d’être retrouvée par mon bourreau ou ses proches et qui c’est ce qui peut passer par leur tête. Les criminels ou des proches de criminels peuvent très bien passer à des actes de vengeance, de représailles, d’intimidations, d’actes délictueux ou même criminels. Mon agresseur ayant déjà déposé plainte contre moi, n’ayant pas obtenu une condamnation contre moi, pour moi le risque existe et il est important pour moi évidement de diminuer ce risque de représailles et de pouvoir vivre un minimum de tranquillité – malgré le fait que mon bourreau n’ait pas fait ses années de prison suite à son acquittement !

Aujourd’hui, je dois faire face à une forme de sadisme – un classique du genre me direz-vous – dans le monde professionnel ayant un nouveau partenariat – malheureusement contractuel (on vous dit que vous être libre mais vous devez accepter les termes de leur contrat !) mais je n’imaginais pas au début que mon prénom serait un prétexte pour cette entreprise pour asseoir leur pouvoir d’ubérisation pour me faire rentrer dans le rang, me mettre au pas. Dans ce contrat, je suis à la fois libre et indépendante, mais aussi enchaînée au non choix de mon prénom ni du nom d’ailleurs. Il y a la Loi et il y a surtout le contrat auquel il faut se référer. Soit. Mais la Loi et le contrat signé n’autorisent pas tout non plus dans le partenariat envers et contre le travailleur : la pression psychologique, la maltraitance, le mépris, le rabaissement, le bourrage de crâne, l’infantilisation, le jugement superficiel, le lien de subordination…

« les gens comme vous »

« c’est comme si moi je choisissais de m’appeler Angelina Joly pour travailler au bureau »

« vous ne voulez pas comprendre »

« vous ne respectez pas la loi »

« si vous ne nous envoyez pas ce certificat avant 5 jours, nous romprons le contrat avec vous »

Photo de Markus Winkler sur Pexels.com

Bien sûr avant de signer ce fameux contrat, je leur ai demandé l’autorisation d’utiliser un autre prénom pour la communication. Ils ont accepté et j’ai signé le contrat car pour moi, il était hors de question de toute façon d’utiliser mon prénom d’origine apparaissant sur mes papiers d’identité. Si cette entreprise et d’autres avaient refusé, soit j’aurais refusé tout simplement de m’engager dans n’importe quel partenariat de ce type, soit je me serais organisé autrement en amont afin de pouvoir utiliser ce prénom que j’ai choisi depuis longtemps. Ils viennent de s’apercevoir de leur « erreur » d’avoir accepté l’usage d’un autre prénom… J’ai des doutes sur leur « erreur » sachant qu’une entreprise développée nationalement calcule tout !

Ayant été violentée par téléphone par cette entreprise, laquelle n’en laissera sûrement aucune trace officielle, j’ai donc décidé d’engager une procédure judiciaire afin que plus personne – personnes physiques ou morales – ne puisse user de son pouvoir malsain et sadique avec mon prénom originel qui m’empêche d’avancer et de m’épanouir dans ma vie professionnelle, qui me rappelle sans cesse l’horreur ne serait-ce que dans toute démarche administrative déclenchant encore aujourd’hui de fortes angoisses et des attaques de panique dans les locaux des administrations telles que tribunaux (même si ce n’est pas pour moi), impôts et d’autres organismes officiels, dès qu’il y a un lien avec mon identité, mes papiers d’identité… Parce que oui, le viol peut aussi saccager l’identité, le viol – ou les viols multiples subis dans mon enfance – étant un meurtre psychique, il est évident que cela tue aussi l’identité…

« En droit, l’usage d’un pseudonyme est couramment admis, il se constitue du nom de l’intéressé suivi du préfixe « dit » avant le pseudonyme choisi. La mention du pseudonyme sur la carte d’identité en France est une tolérance de l’administration, elle n’est pas systématiquement accordée. Il est également possible d’ouvrir un compte bancaire sous son pseudonyme, elle reste toutefois à la libre appréciation suivant les différentes administrations. Pour obtenir la mention sur les papiers d’identité, il faudra pour cela obtenir un acte de notoriété confirmant votre pseudonyme choisi, réalisé en étude notariale ou bien également en déposant une requête prouvant l’usage « constant et ininterrompu et dénué de toute équivoque » de ce pseudonyme auprès du juge du Tribunal d’Instance du lieu de résidence qui délivrera un acte de notoriété.

L’usage du pseudonyme est même parfois expressément autorisé, comme en droit d’auteur : le code de la propriété intellectuelle organise les droits de l’auteur qui publie sous pseudonyme.

Certaines professions ne peuvent pas exercer sous couverture d’un pseudonyme comme les médecins, les dentistes et les sages-femmes, sous peine de 4 500 € d’amende. Et concernant les architectes, ils peuvent exercer sous pseudonyme, à la seule condition qu’ils soient inscrits au tableau de l’ordre des architectes sous ce pseudonyme avec en leurs possessions un acte de notoriété.

L’appréciation du pseudonyme est laissée à l’administration préfectorale ou communale et un pseudonyme n’est pas transmissible à sa descendance ni à son conjoint. » Wikipedia

Je me suis donc rapprochée de plusieurs notaires. Le premier me répond : « Les notaires n’ont pas compétence pour réaliser la modification que vous souhaitez. A mon sens, il y a lieu de se rapprocher d’un avocat pour faire une requête au judiciaire (juge ou procureur). » J’en conclus donc suite à quelques recherches y compris Wikipedia que soit ce notaire ne sait pas qu’il peut le faire, soit il ne veut pas, soit les sites d’information sur le droit écrivent n’importe quoi.

Prochaine étape dans mon parcours de survivante combattante : remplir un dossier de demande d’aide juridictionnelle, et commencer cette démarche impérieuse de changer de prénom officiellement. J’aviserai en temps utile concernant la dite entreprise avec laquelle j’ai signé un partenariat mais il va de soit qu’il est devenu impossible pour moi de leur accorder la même confiance qu’au début.

La plus belle revanche est d’être plus forte que celles et ceux qui utilisent leur bassesse pour vous sadiser. Il y a souvent une solution à trouver pour pouvoir rebondir et s’en sortir encore plus fort qu’avant. Le chemin est long, semé d’embuches, d’angoisses et de déprimes, mais il y a toujours une personne, une idée, une lumière quelque part pour s’en sortir et moins souffrir. Tout n’est pas perdu ! Je me concentre sur ce qui est bon à prendre dans cette vie de contraintes en sachant qu’il y a des jours où cela ne fonctionne pas. Les sadiques me mettent parfois un genou à terre, je souffle, je me relève et j’avance.

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Parfois il y a des perles pendant un procès d’assises…

1) Pendant que j’étais à la barre, l’avocat de la partie adverse me pose des questions pour essayer de me déstabiliser. Il fait son travail d’avocat…

Quand il a fini de poser ses questions, une question me démange, je dis à la Présidente :

– j’ai une question à poser mais je ne sais pas si c’est opportun que je la pose.

Elle répond :
– Posez votre question.

Moi hésitante et me demandant quelles allaient être les réactions :
– Je sais que l’avocat de la partie adverse fait son travail, mais est-ce qu’il sait que son client lui ment ?

Un ami dans le public m’a dit qu’il a vu l’avocat de la partie adverse bouche bée et regardant la présidente comme pour lui dire « au secours »…

La présidente m’a répondu que c’était de l’ordre du secret professionnel entre l’avocat et son client (pour résumer).
J’avais posé cette question car je me disais en moi-même : c’est pas juste, il cherche à me déstabiliser alors que son client lui ment…

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2) Mon avocat pose une question à mon agresseur et lui répond :
– je ne pouvais pas matériellement violer cette fille, j’étais jamais chez moi, je travaillais comme un forcené, vous savez ce que c’est monsieur de travailler ?

Mon avocat (ironique) :
– non, je ne sais pas monsieur…

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3) à propos de la lettre recommandée que mes parents ont envoyé à mon agresseur après ma fugue (les dialogues ne sont sûrement pas tout à fait exacts mais en substance) :

Mon avocat dit :
– Monsieur, avez-vous pris connaissance de cette lettre ?

Lui :
– Non.

Mon avocat :
– Dans vos déclarations, vous vous contredisez et nous avons le récépissé du recommandé avec la signature de votre femme et votre signature.

Lui :
– Ce n’est pas moi qui ait lu la lettre c’est ma femme qui me l’a lue. J’avais autre chose à faire, j’étais en train de tailler ma haie !

(NO COMMENT !!!)

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4) Question de l’avocat adverse à mon experte psychologue :
– mais ne croyez-vous pas que ses déclarations peuvent être de l’ordre du fantasme ? (il parlait de moi)

L’experte psy :
– mais tout le monde a des fantasmes monsieur !!!

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5) Mon agresseur :
– elle exprime ses souffrances et c’est bien. Mais moi aussi j’ai beaucoup souffert… On m’a enlevé la rate et j’ai eu un infarctus.

La présidente :
– Mais monsieur, si vous faisiez une crise cardiaque, vous ne seriez pas là en ce moment… Vous allez bien et vous êtes ici pour les faits qui nous préoccupent !!!

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6) Perversité maximum. Le 1er jour, mon agresseur s’était habillé en costume bleu marine, genre chef d’entreprise. Et le 2ème jour, il était habillé d’un costume gris foncé mais il arborait une CRAVATE (gros nœud) d’un rose que je peux qualifier d’outrageusement « cochon » qui signait symboliquement ce que criait son inconscient et sa perversité (cravate = symbole phallique).

En conclusion sa cravate l’a cravaté et il est parti en prison avec ses santiags mais sans sa cravate de « cochon »… et il avait même pas pensé à amener un pyjama pour éventuellement dormir en prison, ce qui est extrêmement rare selon le gendarme présent pendant les 2 jours d’audience…

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Mon 1er avocat qui me ment

Lorsque je décide en 1998, avec le soutien de mes proches, de déposer plainte contre mon bourreau, je suis d’abord en recherche d’un bon avocat qui accepte l’aide juridictionnelle puisque je n’avais pas les moyens financiers et puisque les victimes y ont droit. J’en parle à une amie qui se renseigne auprès d’une amie, laquelle me recommande un avocat à Argenteuil qu’elle a eu comme prof en cours à l’université. Cet avocat devait donc être sérieux à priori. Je rencontre Maître R. Il me pose des questions bien sûr et je lui explique mon histoire, avec des difficultés puisque c’est toujours douloureux d’en parler. Je le revois plusieurs fois, il me dit qu’il souhaite lire mon journal intime que je tiens depuis quelques années afin de pouvoir trouver des éléments et les utiliser. Je lui apporte donc plusieurs cahiers et dossiers de mon journal. Il me dit qu’il s’occupe d’écrire la plainte et de l’envoyer, qu’il fallait ensuite attendre et que l’attente était extrêmement longue, qu’il ne fallait pas m’inquiéter.

Des mois passent, je le recontacte pour savoir où cela en est. Pas de nouvelles. Je prends rdv et lors de cet entretien il m’apprend que la plainte a été perdue mais qu’il s’occupe de tout renvoyer. En 2000, ma santé se détériore un peu plus qu’avant. Rien ne se passe avec la plainte, ni le tribunal et par trois fois en 2 ans, l’avocat me redit que la plainte s’est perdue au tribunal. Mon compagnon se renseigne directement au tribunal de Pontoise pour savoir si une plainte a bien été déposé car même en cas de perte, il est impossible qu’il n’y ait pas de trace. Le tribunal nous apprend qu’AUCUNE plainte, ni courrier n’a été envoyé par Maître R. pour mon affaire !

Nous prenons rdv avec lui. Nous sommes en octobre 2000.

Accompagnés par mes parents, nous nous présentons au rdv. En chemin, le secrétariat nous prévient que le rdv est annulé. Nous nous y rendons quand même.

Mon avocat n’est pas là. Sa femme oui. Nous lui demandons de me restituer mes journaux intimes. Elle refuse et nous demande de partir. Nous restons et devant son insistance et sa violence – sans doute avait-elle peur mais de quoi ? – nous appelons le commissariat en expliquant ce qui se passe et ce que nous sommes venus faire : reprendre mes journaux intimes.

Devant les policiers qui se sont déplacés et lui expliquent qu’elle doit me rendre mes cahiers et dossiers, elle cède.

En chemin, je m’aperçois qu’il manque un cahier rose saumon très important. C’était celui dans lequel je décrivais les faits. J’avais trouvé la force de les écrire pour m’en débarrasser. Il n’y est plus. Cela me fait beaucoup souffrir.

Je suis partie de ce cabinet d’avocats avec un sentiment d’avoir été trahie, volée, piétinée. Je découvrais alors à 25 ans que des avocats pouvaient se comporter comme des ordures, vous mentir et vous voler une partie de vous-même.

Je ne sais toujours pas aujourd’hui pourquoi cet avocat n’avait pas fait le nécessaire et pourquoi il m’avait menti pendant 2 ans, ni pourquoi il ne voulait pas me rendre mes journaux intimes et encore moins ce qu’est devenu ce cahier à la couleur rose saumon.

Avec mon ami, nous avons décidé de ne pas en rester là. Nous avons dénoncé ces agissements auprès du Conseil de l’Ordre des Avocats qui a demandé des explications à Maître R. et c’en est resté à ce stade, malgré le témoignage des 2 policiers présents. Aucune sanction ni réparation. De leur côté, la femme a essayé de nous poursuivre avec comme faux-prétexte son petit doigt abîmé. Un mensonge de plus…

Il ne restait plus qu’à envoyé un courrier au Procureur de la République pour déposer cette plainte. Ce que mon ami m’a aidée à rédiger. Nous étions encore dans les temps. Ensuite il fallait que je trouve un/e autre avocat-e pour me défendre, mais comment trouver une personne de confiance ?

Je me demande aujourd’hui si cet avocat n’est pas tout simplement un consommateur d’enfants qui avait décidé de faire en sorte que le délai de la prescription soit passé afin de protéger un autre pédophile, sinon pourquoi m’avoir menti en me faisant croire que la plainte était perdue au tribunal, ne pas faire le nécessaire et pourquoi refuser de me rendre mes cahiers intimes sinon pour empêcher de mener à bien une instruction avec des éléments pouvant se trouver dans mes écrits ? Et pourquoi, alors que je lui avais expliqué qu’à cette époque j’avais une phobie des couteaux, faisait-il exprès de jouer avec son coupe papier devant moi, si ce n’est par sadisme ? C’est vrai au fond, quel était son mobile pour faire en sorte que mon bourreau ne soit pas poursuivi, interrogé, qu’il n’y ait pas d’enquête… ?

NB : Avis aux enquêteurs, services de police, je suis toujours à la recherche de mon cahier moyen format (plus petit que le A4), de couleur saumon, à spirales, et élastique pour le fermer.

English: Caractacus at the Tribunal of Claudiu...

English: Caractacus at the Tribunal of Claudius at Rome Engraving by Andrew Birrell of a painting by Henry Fuseli Original is a D size print. (Photo credit: Wikipedia)

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